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En visite en Corse, le président de l'Arcom entend "lutter contre la diffusion de contenus illicites


Roch-Olivier Maistre - afp


Le président de L'Arcom, l'autorité de régulation de la communication, est en visite en Corse. Il rencontre les responsables des radios et télévisions locales. L'occasion aussi pour lui d'évoquer la lutte contre les fake news.


Vous effectuez un déplacement de deux jours en Corse. À la rencontre des représentants des radios et télévisions, associatives, publiques et privées. Depuis combien de temps un président de l'Arcom n'était plus venu en Corse ?


Des membres du collège et des services de l'Arcom sont venus régulièrement, mais je tenais personnellement à me rendre sur l'île de Beauté pour y rencontrer tous les acteurs de l'audiovisuel local.


Quel est l'objet de cette visite, est-ce qu'il y a des échéances pour certains médias que vous allez rencontrer ?

On ne régule bien que ce qu'on connaît bien. C'est pourquoi il est très important pour moi de rencontrer celles et ceux qui font vivre radios et télévisions et d'être à leur écoute pour prendre la juste mesure de leurs préoccupations.

C'est aussi la mission de nos délégations régionales et en particulier de notre antenne marseillaise qui couvre le territoire corse.


Pendant votre visite en Corse, peut-être écouterez-vous la radio à bord de votre véhicule. Vous entendrez plus souvent des radios italiennes, qui viennent brouiller les ondes des radios locales. Qu'est ce qui explique ce phénomène ?


Le brouillage des fréquences des radios en Corse est un sujet bien connu et bien identifié par le régulateur.

Ce phénomène, propre à l'île, a des causes multiples : la proximité avec l'Italie, en particulier la Sardaigne, l'absence d'obstacles naturels, une utilisation intense de la bande FM par nos voisins.

La préservation de bonnes conditions d'écoute de la radio en Corse nécessite un parfait respect des autorisations d'émettre de chaque côté des frontières.


(Lire l'article complet chez nos amis de Corse-Matin en cliquant ici)

| L'ACTU

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